
2020
Et si c'était l'année d'amplifier votre art de devenir agiles ?
Pour les voeux de cette année, je vous offre un beau dessin.
Les articles publiés en 2020.
Et si c'était l'année d'amplifier votre art de devenir agiles ?
Pour les voeux de cette année, je vous offre un beau dessin.
Scrum Master, à la prochaine rétrospective, demande-toi (et demande à l'équipe) si tu es encore utile.
Cet article est dédié à David Graeber, un des penseurs les plus inspirants que j’ai lu ces derniers mois, mort le 2 septembre 2020. C’est lui qui a théorisé le concept de bullshit jobs.
Mon fils m’a envoyé un lien vers un article qui parle des métiers que pourraient faire nos enfants car parmi eux, il y a Scrum Master.
Scrum Master, un métier d’avenir ? Encore maintenant ? Alors que j’en parle dans ce blog depuis 2006 ?
Dire qu’on va faire de l’agilité parce que c’est à la mode n’est pas une bonne raison
Pendant la première décennie de l’agilité — disons jusqu’en 2011 — la question du pourquoi était souvent posée, à propos d’un développement de logiciel. Elle était formulée ainsi :
Est-ce l’agilité est adaptée à mon développement ?
Ce qui revient à : pourquoi devrions-nous passer à l’agilité ?
Esprit d'équipe, es-tu là ?
Attention, SCRUM n'est pas un acronyme !
Je me suis amusé à créer des acronymes expressifs afin de faciliter la mémorisation d’attributs liés à des concepts de l’agilité.
C’est un exercice que j’ai pratiqué pour L’art de devenir une équipe agile, dans lequel ça se voit dans le titre de plusieurs pages et que je continue dans la nouvelle édition de Scrum
Le confinement, une occasion pour chacun·e de réaffirmer librement son attachement au groupe ?
Comment ce dessin de l’équipe sur un tapis volant s’est-il retrouvé dans L’art de devenir une équipe agile ?
En quoi l’hétérotopie aide à devenir agile ?
Est-ce que le confinement constitue une hétérotopie ?
Bientôt le temps des cerises
Comme pour tout le monde, les formations et séminaires que je devais donner pendant ce printemps ont été reportés ou annulés.
Je n’ai pas de nouvelle édition de livre à laquelle je pourrais me consacrer. J’ai donc du temps libre, et l’envie de partager, en proposant quelque chose d’adapté à cette période extraordinaire.
Le meilleur du bio et de la permaculture dans votre assiette
Il faut des rites, dit le renard au Petit Prince.
Mon rite du 4 avril, c’est de faire la rétrospective d’une année de blog. En effet, c’est le 4 avril 2006 que j’ai commencé à écrire ici.
Pour cette année, je retiens 3 événements en relation avec mon blog.
Des fruits et légumes bio, du jardin à votre cuisine en moins d'un jour, sans impact carbone
Si on ne profite pas de cette situation incroyable pour changer, c’est gâcher une crise
C’est Bruno Latour, un philosophe et sociologue, qui a inspiré cet article.
Il vient de publier un article dans AOC Media : Imaginer les gestes-barrières contre le retour à la production d’avant-crise.
À la fin de l’article (et aussi à part) on trouve un questionnaire, ou plutôt une aide à l’auto-description, ou encore mieux un outil de discernement.
C'est vrai ça, Pierre, tu nous parles d'agilité, mais pourquoi ? Why?
La suite de l’exemple PermaBio, avec la question essentielle :
Pourquoi l'agilité serait une bonne chose pour PermaBio ?
Nous sommes dans un monde incertain et ambigu.
Préambule : j’ai beau actuellement me sentir moins libre, avoir dû reporter formations et voyages à des moments plus propices, je suis confiné dans de bonnes conditions et je soutiens celles et ceux qui souffrent.
Au cours de mes causettes agiles, quelques personnes me connaissant bien m’ont demandé si le canal du Midi ne me manquait pas trop.
Ma réponse a évolué en même temps que le confinement s’est durci.
Faites connaissance avec les membres de l'équipe et apprenez à les reconnaitre ; vous les retrouverez tout au long de l'histoire
PermaBio est l’exemple qui sert de fil rouge dans L’art de devenir une équipe agile. Dans le premier chapitre, nous avions fait connaissance avec Pierre, le fondateur, qui nous avait donné sa vision, décrit le service et expliqué pourquoi l’agilité lui semblait la bonne approche.
Nous allons maintenant faire connaissance avec l’équipe.
Faire émerger des gestes barrières
La première version de la rétro-confinement a suscité de l’intérêt.
Dix jours plus tard, voici la deuxième version qui prend en compte le feedback reçu et notre propre expérimentation, avec Jean-Pascal et Anthony, mes camarades du klub de lecture.
Nous croyons beaucoup au potentiel de cette rétro pour préparer un post-confinement en adéquation avec nos valeurs. Nous pensons que cette réflexion –en ce moment si particulier– peut éviter à des équipes qui étaient dans le faux agile d’y retourner.
Pierre, Marie, Victor et les autres
On retrouve tout au long du livre L’art de devenir une équipe agile ces cinq parties prenantes dessinées par Étienne.
Le chapitre 2 a pour titre L’équipe dans son écosystème. L’écosystème d’une équipe, c’est le milieu dans lequel elle évolue. Il est composé d’objets et de personnes. Les personnes, ce sont les parties prenantes.
Les créateurs de Scrum pensaient bien faire en utilisant sprint
Dans L’art de devenir une équipe agile on trouve ce dessin. Il illustre ce que ne devrait pas être un sprint pour une équipe agile.
Pour expliquer comment on peut continuer à dire sprint tout en oubliant l’idée de vitesse qui y est attachée, j’ai utilisé un terme dont je viens de découvrir qu’il est une insulte du Capitaine Haddock. Il figure dans Le petit Haddock illustré d’Albert Algoud.
Non, ce n’est pas bachi-bouzouk. Ni ectoplasme. Ni apache. Ni vampire.
Le premier backlog est constitué
Pour notre exemple PermaBio, dans ce premier article consacré à la boucle de feedback (le chapitre 3 de L’art de devenir une équipe agile), nous allons nous intéresser à l’élaboration du backlog initial.
Il contient des gros morceaux qui seront ensuite affinés.
Le confinement, une opportunité pour bifurquer vers une agilité radicale
Je vais être co-présentateur de la keynote de clôture de la conférence Agile en ligne le 30 avril.
Cette présentation collective a émergé grâce au confinement, comme la conférence d’ailleurs. Il y a un mois on n’imaginait ni l’une ni l’autre.
Pas besoin de demander aux décisionnaires, c'est l'équipe qui décide
Le 23e commentaire laissé pour mon livre Scrum sur Amazon m’a interpellé, le voici :
Je trouve que c’est un très bon livre pour comprendre Scrum.
Merci. Mais voyons la suite…
Lénine ou Staline ?
Le texte ci-dessus, avec un bout du dessin d’Étienne, provient de mon livre L’art de devenir une équipe agile, publié en mai 2019. Il y est question de confiance et de contrôle.
Pour le klub de lecture de ce soir (le klub mensuel), j’ai lu L’entreprise altruiste d’Isaac Getz et Laurent Marbacher, et ce duo soviétique y est présent.
Gestes-barrières, valeur sociale, quelques idées pour bifurquer vers l'agilité radicale
J’ai eu le plaisir de participer à Agile en ligne jeudi dernier. Et cerise sur le gâteau j’ai vécu une belle aventure collective avec Anthony et Jean-Pascal pour préparer et donner la keynote de clôture de ce bel événement :
Le confinement, une opportunité pour bifurquer vers l’agilité radicale.
Au-delà de s’adapter au changement subi, nous voulons devenir le changement
Cette keynote Le confinement, une opportunité pour bifurquer vers une agilité radicale, a été le fruit d’une réflexion d’équipe. Nous l’avons présentée en équipe, en faisant de notre mieux compte tenu du contexte. Après les interventions éclairantes d’Anthony et Jean-Pascal, j’ai repris la parole pour conclure. Une conclusion rapide de moins de trois minutes je pense. Avec 3 slides.
Une nouvelle aventure
J’ai publié de nombreux billets pendant le confinement, au rythme de plusieurs par semaine. Je n’en ai plus publiés ici depuis 2 semaines. Ce n’est pas tant la fin du confinement qui m’a fait arrêter, c’est que je suis parti écrire ailleurs.
Chez l’agilité radicale